Ah ben... Je pourrais mourir aujourd'hui, j'aurais au moins le plaisir d'avoir vécu l'aboutissement du plus grand projet que nous avons mis en route, Bob et moi.
Hier soir, samedi 15 octobre, soirée "Tentations"...
Le moins que l'on puisse dire, c'est que vous y avez cédé, lolllll
Jamais jusque là, nous n'avions eu un tel bonheur. Même que Bob a pris le micro pour vous remercier. Et ça, c'est un signe, croyez-moi, connaissant sa répulsion pour cet objet et son déplaisir d'être au centre d'intérêt.
Mais là, faut dire que je le comprends.
Si Steph n'était pas au mieux de sa forme ces derniers temps, il s'est rattrapé hier soir. Et vous l'avez accompagné. Le top du gâteau, avec la cerise en plus, ouhaaaaa.
Vous nous avez mis un boxon digne d'une soirée d'Orgie. Sauf que là, c'était pas une soirée privée et qu'il n'y avait pas que des libertins avertis.
Un club libertin, c'est ça. C'est exactement ce que malheureusement nous voyons de moins en moins par les temps qui courent.
C'est dans des soirées comme ça que l'on regrette d'être patron, parce qu'on ne peux pas aller vraiment jusqu'au bout du jeu avec vous, mais c'est aussi dans des soirées comme ça qu'on est fier d'être le patron, grâce à vous, merci, parce qu'on sait alors pourquoi on est là, ...enfin..., merci encore, pourquoi un endroit comme l'Erotikos est encore debout. Non, là, on ne regrette pas d'avoir tenu la barre, malgré les bas plus répétitifs et plus lourds que les hauts par ces temps de crise.
Je ne prends jamais de photos de vos ébats, mais là, il faut me pardonner, parce que je ne pouvais pas faire autrement que d'immortaliser ces instants, une partie de cette soirée d'exception, vraiment libertine avec des libertins vraiment libertins. Je ne regrette qu'une chose, c'est que mon appareil photo ne fasse pas caméra. Parce qu'avec l'image, je ne peux pas vous faire entendre le son, le déchainement de Stéphane, la musique qui va avec.
Je n'ai pas encore visionné les clichés, mais je ne suis pas pressée, parce que je suis sûre qu'ils sont forcément fades à côté de l'extase d'hier... alors je reste encore quelques instants dans mon Nirvana...
Merci encore, et là, croyez moi, ce n'est pas qu'un merci de convenances...
Et Merci les filles, si vous pouvez vous lâcher comme ça, c'est qu'on a réussi à vous construire un cocon de ressourcement, c'est que vous êtes bien chez nous, et surtout, que vous êtes vraiment des libertines comme on les aime ici. Ahhhh, si j'étais bi.... lollllllll
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