mardi 22 avril 2014

Encore un peu d'humour

J'ai reçu des nouvelles par mail d'une amie, ce matin. Du coup, j'ai enchaîné sur la relecture de quelques passages du blog... l'amie en question est apparue plusieurs fois sur ces pages... flaschs du passé, hummm, trop sympa, lol.
Bref, je suis inévitablement tombée sur un des derniers, celui de janvier. Et j'ai de nouveau bien ri à sa lecture.
Même que la définition du "snobisme" m'a -encore- fait sourire.
Vous ne pouvez peut-être pas comprendre, mais cela me fait tellement penser à un des sujets qui nous occupent tant en ce moment Bob et moi...

Enfin, je n'ai pas pris le clavier pour vous parler de nos démêlées commerciales et juridiques, mais pour vous raconter une autre blague. Ben oui, comme la liste des débarras prévus pour 2014 rame un peu, je vous fais profiter de la suite de la 2ème chose à faire: ne pas rater une occasion de rire.

Alors voilà:

Cela se passe dans une tribu indienne.
Le postulant au statut de Grand Chef doit montrer son courage et sa valeur pour mériter ses nouvelles plumes d'aigle. Il doit pour cela passer trois épreuves.

La première: Boire d'un trait une grande gourde d'Eau de Feu.
La deuxième: Abattre un ours
La troisième: Violer une squaw
Et tout cela avant le coucher du soleil.

Voilà notre valeureux guerrier qui s'attaque à la gourde et l'avale cul sec. Puis titubant un p'tit poil, se précipite vers la forêt à la recherche de l'ours.

Trois heures plus tard, le voilà qui revient, sanguinolent et balafré de partout, et, s'adressant à ses pairs, il demande:
Elle est où, la squaw qu'il faut abattre ?


Moi, elle m'a bien fait rire.
Il y a un proverbe chinois qui dit que la valeur d'un général réside dans sa stratégie et non dans son courage; notre guerrier indien était il seulement saoul ou fin stratège ? En tout cas, du courage, il devait en avoir, ça c'est sûr; mais je pense qu'il lui fallait également une bonne dose de perversité, quand même.

Sur ce, je vous laisse méditer, lol et je vous souhaite une bonne journée à tous.