Les écrits restent...

Salut, Ô fidèle Lecteur du LoloBlog...

Je repasse de temps en temps sur ces pages et chaque fois, c'est une nouvelle surprise pour moi de voir que vous y êtes toujours présents.
Que d'évènements depuis le dernier billet sur "Oui, mais encore ???" où je vous annonçais l'ouverture du Clos de Ninon...
L'Erotikos n'est plus, mais son âme traîne encore dans les murs du club. Impossible d'oublier ses années d'existence en votre compagnie... et c'est bien, parce qu'on a pas, surtout pas, envie de les oublier, ces belles années.

Je relisais les posts de 2012 (entre autre), hier matin, et je rigolais toute seule devant mon écran.
J'ai aussi eu la larme à l'oeil en voyant de nouveau vos soutiens, et vos réactions à l'annonce de la réouverture des lieux.
Hier après-midi, je discutais avec S. de ces lignes. Que de souvenirs !!! Il me disait qu'il y avait plus de débats à l'époque sur le blog de l'Ero que sur celui du Clos. Oui, c'est un fait, je ne sais pas pourquoi... Peut-être les visiteurs du Clos sont-ils moins impliqués dans la vie du club aujourd'hui que vous ne l'étiez auparavant. Ce n'est peut-être pas un mal, après tout, lol, au moins ne fais-je plus de bonds à mon petit déjeuner à la lecture de certains messages critiques.
Aujourd'hui, je n'ai pratiquement rien à modérer, faut croire que tout va très bien dans le meilleur des mondes, celui du Clos de Ninon.

Ceci dit, à la relecture des derniers messages, je m'aperçois que je ne vous ais pas dit à quel point il a été salvateur de lire votre confiance, vos encouragements, vos espoirs. Il faut dire aussi que mon vocabulaire est trop limité pour trouver les mots qui refléteraient vraiment ce que je ressens et voudrais vous dire pour vous faire savoir à quel point ce qui ne vous a prit peut-être que 3 minutes à écrire dans vos commentaires et vos mails a pu nous faire comme bien à Bob et moi, dans les moments les plus difficiles.

Alors merci d'avoir été là, de l'être encore.
Je ne reviendrai sûrement pas là dessus, je n'aime pas trop faire dans le mélodrame, mais l'humanité existe finalement, merci de me permettre de ne pas l'oublier chaque fois que je vous relie.